Dans la théorie, il devrait avoir deux intervenants :
un intervenant technique qui va valider si la solution est techniquement juste. Est-ce qu'elle est claire ? Est-ce qu'elle est exploitable (au sens littéraire : est ce qu'elle peut être utilisé pour l'exploitation ?). Lorsque le contenu technique est validé, une deuxième validation est nécessaire.
un intervenant fonctionnel va valider la forme et la présentation de l'article de connaissance. Il va s'assurer que la mise en place a été respectée : Présentation des symptômes, présentation du workaround, présentation de la solution définitive... Cette validation doit également permettre de s'assurer que cet article n'est pas un doublon d'un autre.
Dans la pratique, cela dépend beaucoup de l'organisation et de la volonté d'implémenter une base de connaissance. Comme très souvent, il est nécessaire de convaincre les équipes lors du démarrage de ce processus, il est difficile de mettre en place une organisation qui répond parfaitement à la théorie. C'est pourquoi il est possible de travailler en plusieurs temps.
Dans un premier temps, la validation technique peut se faire par l'opérateur qui a écrit l'article. Certes il va s'auto-valider mais par la suite, il sera possible de déléguer cette validation technique. Pour la validation fonctionnelle, elle peut être faite centralement : par un knowledge manager, décentralisé : par chaque service owner.
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